Il y a plusieurs niveaux à envisager, Financier, Politique, Économique, Industriel….avant de répondre à ce genre de question.
Il faudrait donc un comité d’experts et surtout pas de banquiers
Dans une guerre ou dans un combat celui qui a l’initiative possède un avantage certain sur son opposant. Cet avantage n’est pas toujours un mouvement à faire, mais quelques fois, juste une position à prendre.
L’Euro fut une source d’enrichissement continu pour l’Allemagne et ce dès le début de la création de cette chimère. C’est peu connu, mais cependant vrai. L’Allemagne se contenta de prendre, pour elle, la moitié des euro mis en circulation.
Pourquoi prendre seulement la moitié ?
Peut être que prendre le tout aurait fait désordre.
Savez vous que outre ceci, l’Allemagne demandait et à obtenu certaines autres choses qui lui venait directement de ses derniers actes de guerre?
Par exemple, les Usines SKODA industrie de Fonderies et Mécanique dans le giron de l’industriel VW.
Par exemple l’Allemagne désirait qu’on lui rende « STEYR » industrie de Fonderies et Mécanique, mais cela ne se fit pas.
Par exemple, que soient restituées les usines Opel, qu’elle ne réussit pas à obtenir.
Quid de renault ?
Par exemple, la demande de l’Allemagne qu’on lui rende les SUDETES ce à quoi la république Tchèque à répondu NON.
Vous pensez que j’en rajoute. Vous êtes loin du compte.
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Nos amis Grecs pourraient vous parler des dettes (obligations) Allemandes jamais remboursées.
Nos Amis Serbes vous diraient combien, grande est la Haine de l’Allemagne pour les Serbes
Étonamment Grecs et Serbes ont connu des problèmes qui s’inscrivent et s’inscriront dans la durée.
Sachant ceci, que serait une sortie de l’Euro pour la république Allemande ?
De suite le spectre de la monnaie trop chère apparaîtrait.
Devenue première puissance industrielle d’Europe, de fait cela se vérifie. En premier lieu, baisse des ventes à l’étranger, alors que faire? Réduire les productions ? Baisser les salaires, Recourir à un taux de chômage plus élevé?
Demander au voisin Français comme sous Giscard de remonter artificiellement le cours du Franc afin de ne pas trop pénaliser l’Allemagne ?
Ceci étant dit, la puissance industrielle Allemande va de paire avec une faible productivité agricole. Sait on que c’est la Pologne, qui nourrit une partie de l’Allemagne, à grâce à l’euro? Que si l’euro persiste comme monnaie commune, ce sera bientôt le tour de la Bulgarie et de la Roumanie de voir leur agriculture dépérir et voir le nombre de chômeurs ex agriculteurs augmenter pour nourrir l’Allemagne? C’est un cercle qui n’a rien de vertueux qui fût mis en place il y a plus de dix ans.
Avec une monnaie commune, le jeu aurait été plus simple chacun des participants, achetait un pourcentage du capital et s’engageant à due concurence de sa prise de participation, avec comme garantie sa propre monnaie nationale. Une coopération entre États. Mais cela ne faisait pas la part belle aux banquiers.
Aujourd’hui le père de cet immense marché de dupe, Mr DELORS, ne cesse de répeter que lui, n’y est pour rien. Ben voyons!
http://www.atlantico.fr/decryptage/allemagne-sortie-zone-euro-angela-merkel-isabelle-mouilleseaux-271583.html
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Une réponse se dégage, si l’Euro disparaissait, ce sera en premier lieu l’Allemagne qui en subirait le contre coup. Alors la cours constitutionnelle de Karlsruhe aura beau jeu de dire au Chancelier: On ne met pas en danger l’Avenir du Peuple Allemand.
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Au moment de créer l’euro qui a pensé à l’avenir des peuples d’Europe ?
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Et si incidemment la France venait elle aussi à sortir de l’euro, contrainte ou de son bon vouloir, la solution ne passerait que par une seule Politique Volontariste, respectant la propriété individuelle, de retour au plein emploi et à la re – industrialisation de la France. L’Outil sera le brevet (dépôt) GRATUIT avec allocation à l’inventeur pour industrialiser son produit. Si innovation majeure, sans remettre en cause le droit de l’inventeur, capital (caisse de dépôt à recréer et secteur bancaire à maîtriser, l’État dans ses prérogatives Régaliennes car il est représentant et opérant pour le PEUPLE de FRANCE) afin de lancer les premières séries de produits (ici nécessité du secret et des moyens de garder secret ce qui ne doit pas être divulgué) et ce pendant un temps, certain.
L’Avenir n’est inscrit nulle part.
Les actions coûtent aux hommes d’action, mais l’immobilisme nous à conduit à la ruine presque totale.
S. CARVAJAL
Management Stratégique & Innovations